Hôpitaux Publics de l'Artois
Situés à mi-distance entre les CHU de Lille et d’Amiens, les Hôpitaux Publics de l’Artois ont vocation à proposer aux 700 000 habitants du territoire des prises en charge d’excellence avec la meilleure sécurité des soins, au plus proche de chez eux.
Les Hôpitaux Publics de l’Artois présentent la spécificité d’avoir une équipe de direction commune, un directeur commun aux quatre établissements et des pôles cliniques inter-hospitaliers. Ils se basent sur un projet médical partagé, complété par des démarches territoriales : un projet de soins, une politique achat, un système d’information hospitalière convergent, un projet immobilier, ... Environ 5 800 personnes travaillent au sein des Hôpitaux Publics de l’Artois, dont près de 600 médecins. Les établissements disposent de 2 225 lits dont 1 073 de MCO (Médecine, Chirurgie et Obstétrique). Plus de 120 000 patients s’y présentent au niveau des urgences chaque année. Près de 3 500 enfants y naissent. Plus de 400 000 consultations y ont lieu ainsi que 131 000 hospitalisations dont près de la moitié en ambulatoire. Les Hôpitaux Publics de l’Artois ont un budget cumulé de 437 millions d’euros.
Les Hôpitaux Publics de l’Artois sont au nombre de 4 : Le Centre Hospitalier de Béthune Beuvry, le Centre Hospitalier d’Hénin-Beaumont, le Centre Hospitalier de La Bassée, le Centre Hospitalier de Lens.
Le/la psychologue conçoit, élabore et met en œuvre des actions à visée préventive, curative et de recherche, dans le cadre d’une démarche professionnelle spécifique, fondée sur l’analyse des rapports réciproques entre la vie psychique et les comportements individuels ou collectifs. Il/elle vise, par son intervention, à promouvoir l’autonomie, l’équilibre psychique et la structuration de la personnalité des personnes détenues au centre pénitentiaire de Vendin-le-Vieil.
Il/elle participe à l’évaluation, au soutien et à l’accompagnement psychologique des patients dans leur singularité, en tenant compte de leur histoire, de leur environnement et de leur parcours de vie. Son action s’inscrit dans une approche globale de la santé mentale, en lien étroit avec le contexte carcéral, les problématiques spécifiques qu’il induit, et les impératifs de sécurité.
Le/la psychologue contribue à la prévention de la souffrance psychique, à la réduction des risques de décompensation, à la gestion des troubles du comportement, et à la promotion du bien-être psychologique. Il/elle peut être amené(e) à animer des ateliers thérapeutiques, à conduire des entretiens individuels ou collectifs, et à développer des projets de recherche ou d’évaluation clinique adaptés à la population pénale.
Son intervention s’inscrit au sein d’une équipe pluri professionnelle, en alliant autonomie, éthique professionnelle et travail collaboratif. Il/elle travaille en concertation avec les autres acteurs de la santé, du soin et de la détention, dans le respect du secret professionnel et du cadre légal en vigueur.
Licence de psychologie et Master 2 ou DESS de psychologie (clinique, psychopathologie…)
Expérience en psychiatrie souhaitée.